Les différents termes techniques que tout photographe débutant doit connaître
Si vous débutez en photographie et que vous commencez à lire des articles ou des magazines sur la photo, il est très probable que vous ne comprenez pas certains termes évoqués. En effet, comme dans tout domaine, la photographie possède son langage spécifique qu’il peut être difficile d’appréhender pour un photographe débutant. Ouverture, bokeh, vitesse d’obturation, ISO, modes semi-automatiques, profondeur de champ, etc., les mots inconnus sont très nombreux. Connaître ces termes est cependant indispensable pour progresser et devenir un meilleur photographe. Pour que vous puissiez facilement vous y retrouver, nous avons dressé dans cet article les différents termes techniques que tout photographe débutant doit connaître.
Les différents termes techniques que tout photographe débutant doit connaître :
Ouverture : elle définit l’ouverture du diaphragme et donc la quantité de lumière que l’objectif laisser entrer sur le capteur. Elle est définie par le rapport entre la distance focale de l’objectif et le diamètre de l’ouverture. Elle est notée f/nombre sur votre appareil. Plus le f/nombre est petit, plus l’ouverture est grande et ainsi plus la quantité de lumière sera importante. Par exemple, une ouverture de f/1,4 sera plus grande qu’une ouverture de f/16. L’ouverture impacte également la profondeur de champ. Plus celle-ci est grande (petit f/nombre), plus la profondeur est courte. À l’inverse, plus l’ouverture est petite (grand f/nombre), plus la profondeur de champ est large. Vous pouvez en savoir plus sur l’ouverture du diaphragme ici.
Vitesse d’obturation : la vitesse d’obturation représente la durée durant laquelle l’obturateur de votre appareil photo va rester ouvert pour exposer l’image. Cette donnée est exprimée en secondes ou fractions de seconde. Par exemple 1/800s ou 10”. Plus cette vitesse est courte, plus la quantité de lumière captée sera faible (en excluant les autres paramètres d’exposition). La vitesse d’obturation permet également de figer ou non un mouvement. Par exemple, avec une vitesse d’environ 1/800 s, vous pouvez parfaitement figer les vagues agitées de l’océan, tandis qu’à ½ seconde, l’eau serait lisse et floue. En savoir plus sur la vitesse d’obturation.
ISO : l’ISO ou International Standards Organization définit la sensibilité du capteur numérique de votre appareil photo à la lumière. Réglable par multiple de deux, plus la valeur de l’ISO est faible, moins le capteur est sensible à la lumière. Par exemple, une photo prise à ISO 100 sera deux fois moins lumineuse qu’une photo prise à ISO 200. Une haute sensibilité ISO est ainsi utile pour prendre des photos dans des conditions de faible luminosité. En savoir plus sur la sensibilité ISO ici.
Il ou EV : l’IL pour indice de lumination permet de mesurer la quantité de lumière captée par l’appareil photo. Pour résumer, lorsque l’on double la quantité de lumière, l’indice de lumination augmente de + 1 et on le note + 1 IL. À l’inverse, lorsque l’on divise la quantité de lumière par 2, on diminue l’indice de lumination d’une valeur de – 1 IL. Cette mesure permet ainsi de facilement faire la corrélation entre les différents paramètres d’exposition. En savoir plus sur l’indice de lumination ici.
Correction d’exposition : représentée par un bouton +/- sur votre appareil photo, la correction d’exposition est principalement utilisée dans les modes priorité vitesse, priorité ouverture ou programme pour rapidement ajuster et modifier l’exposition calculée par l’appareil photo et ainsi obtenir une exposition parfaite. En savoir plus sur la correction d’exposition ici.
Histogramme : l’histogramme est un graphique permettant d’afficher les valeurs tonales de votre image. Celui-ci peut être affiché sur votre appareil photo numérique ou depuis un logiciel de retouche. L’histogramme offre une représentation réaliste de la luminosité ou de l’obscurité de votre image et permet ainsi d’éviter d’être induit en erreur par un écran trop lumineux ou trop sombre. Découvrez ici comment lire et exploiter l’histogramme de votre appareil photo.
Ratio d’aspect : il correspond au rapport entre la largeur et la hauteur de l’image. Par exemple, une image de 15 cm par 10 cm correspond à un ratio de 15/10, simplifié par 3:2. Ce ratio de 3:2 correspond au ratio standard capturé par la plupart des appareils photo. Ce ratio peut cependant être modifié ou recadré selon un autre format. Par exemple, un format carré aura un ratio de 1:1, un format panoramique de 16:9, etc. Vous pouvez en savoir plus sur les différents formats photo et leurs utilisations ici.
Balance des blancs : suivant la source de lumière qui éclaire la scène photographiée, la teinte de l’image ne sera pas la même. Par exemple, en intérieur, les photos prennent souvent une teinte jaunâtre. On dit que c’est une lumière chaude. Cette teinte peut facilement être modifiée en ajustant en conséquence la balance des blancs de votre appareil photo. Pour la régler, vous pouvez utiliser un préréglage en fonction de la lumière présente dans la scène (ampoule tungstène, halogène, coucher de soleil, etc.) ou la régler manuellement. Un article pour comprendre et maîtriser la balance des blancs est disponible ici.
Bracketing d’exposition : notée “AEB” sur votre appareil, le bracketing d’exposition est une méthode consistant à réaliser automatiquement plusieurs photos avec différentes expositions. Cette fonction est particulièrement utile dans des conditions d’éclairage difficiles pour toujours obtenir une image correctement exposée ou pour la création de photos HDR. En savoir plus sur le bracketing de mise au point automatique. À savoir que le bracketing est également possible avec la mise au point pour obtenir une large profondeur de champ avec une grande ouverture.
Mode Bulb : abrégé par la lettre “B” sur votre appareil photo, le mode bulb permet de conserver l’obturateur ouvert tant que vous restez appuyé sur le déclencheur de l’appareil ou de la télécommande. Ce mode est principalement utilisé pour la réalisation de courtes poses longues ou pour faire des effets de filés en photo de sport.
Mode rafale : lorsque le mode rafale est activé, l’appareil prend des photos en continu jusqu’à tant que le déclencheur soit relâché ou que la mémoire tampon soit saturée. La cadence de la rafale est directement définie par l’appareil photo. Cette donnée est indiquée en fps ou images par seconde. Ce mode sera à privilégier pour capturer des actions rapides. Un photographe de sports devra donc choisir un appareil photo capable de saisir un grand nombre d’images par seconde.
Mode manuel : dans le mode manuel, c’est vous qui définissez les différents paramètres de l’exposition, à savoir l’ouverture, la vitesse d’obturation et la sensibilité ISO. Il s’agit du mode qui offre la plus grande liberté au photographe, mais il peut être difficile à maîtriser pour un photographe débutant. Si cela est votre cas, commencez à vous entraîner avec les modes semi-automatiques.
Modes semi-automatiques : les modes semi-automatiques font référence aux lettres P/A/S ou P/TV/AV sur le sélecteur de mode de votre appareil. Ces modes vous offrent une plus grande possibilité de réglage, tout en conservant les automatismes pour obtenir des photos correctement exposées. Ils constituent ainsi l’intermédiaire entre le mode full auto et manuel. Les modes semi-automatiques comprennent la priorité à l’ouverture (A ou AV) où vous pouvez choisir l’ouverture du diaphragme, la priorité à la vitesse (S ou AV) où vous choisissez la vitesse d’obturation et le mode programme dans lequel vous pouvez sélectionner un couple ouverture/vitesse. Les autres paramètres d’exposition sont ensuite automatiquement ajustés en fonction des valeurs choisies. Pour en savoir plus sur les modes semi-automatiques, cliquez ici.
Distance hyperfocale : la distance hyperfocale représente la distance de mise au point avec laquelle la profondeur de champ est la plus large. Cette distance est très souvent utilisée par les photographes de paysage pour capturer un maximum de détails dans la scène, tout en utilisant une grande ouverture. Avant l’apparition du numérique, cette distance était souvent indiquée sur le corps de l’objectif à l’aide d’une échelle de mise au point. Ce n’est malheureusement plus souvent le cas et il faudra alors la calculer. En savoir plus sur la distance hyperfocale ici.
Bokeh : le bokeh est un terme photo d’origine japonaise utilisé pour décrire les cercles de lumière dans les zones floues de l’image. Celui-ci est directement impacté par la forme du diaphragme et le nombre de lamelles qui le compose. Par exemple, pour obtenir un bokeh parfaitement rond, il faut que les lamelles soient nombreuses et circulaires.
Flou de bougé : le flou de bougé correspond aux vibrations provoquées lorsque vous tenez l’appareil photo à main levée. Plus votre objectif est long, plus ce flou apparaîtra rapidement. Choisir un objectif ou un appareil stabilisé permet de légèrement compenser ces vibrations, à condition de ne pas utiliser une vitesse d’obturation trop lente.
Flare : lorsque vous photographiez à l’extérieur en plein soleil, des cercles de lumière ou un voile blanc peuvent apparaître sur la photo. C’est ce que l’on appelle le flare. Certains photographes recherchent volontairement ce flare pour ajouter un élément de composition supplémentaire, mais dans la plupart des cas, il faudra l’éviter. Découvrez comment éviter le flare et les reflets en photo ici.
Profondeur de champ : la profondeur de champ est la zone de votre image sur laquelle les objets ou les sujets sont nets. Une grande profondeur de champ conservera toute l’image nette, tandis qu’une petite profondeur de champ affichera une très petite zone nette. Cette profondeur de champ est influencée par l’ouverture du diaphragme, la distance qui sépare le sujet, ainsi que la longueur focale utilisée.
Vitesse de synchronisation flash : strictement liée aux capacités de l’appareil photo, cette vitesse correspond à la vitesse maximale à laquelle il est possible de synchroniser le déclenchement du flash à celui de la vitesse d’obturation. Sur la plupart des appareils, cette vitesse est comprise entre 1/160 et 1/200s. Si vous dépassez cette vitesse sans avoir correctement réglé votre flash, la photo ne sera que partiellement éclairée. Découvrez comment régler votre flash ici.
RAW : souvent appelé le négatif numérique, le fichier RAW est un format d’image, au même titre que le JPG. En revanche, à la différence de celui-ci, le fichier RAW intègre toutes les informations de la prise de vue. Ce format offre ainsi au photographe un contrôle accru sur les réglages et les modifications possibles en post production. Attention, le format RAW pèse beaucoup plus lourd qu’un fichier JPG et nécessite obligatoirement d’être édité. Pour en savoir plus, découvrez l’article “faut-il photographier en RAW ou jPG ?”.
Exifs : les données exifs sont les métadonnées de vos photos. Elles comprennent de nombreuses informations telles que les réglages utilisés pour la prise de vue, l’heure de la capture, la position GPS si votre appareil est équipé d’un traceur, l’objectif utilisé, etc. Vous pouvez exploiter ces données pour analyser vos photos et par exemple comprendre pourquoi une photo est réussie et une autre floue. Découvrez comment afficher et analyser les données Exifs de vos photos.
Aberration chromatique : défaut dans l’image due à l’objectif qui ne parvient pas à faire la mise au point sur toutes les couleurs au même point. Il en résulte des franges de couleur dans les zones de contrastes, par exemple les branches d’un arbre sur un ciel lumineux. Ce phénomène est généralement présent sur des objectifs grand angle ou bas de gamme. Si les aberrations chromatiques ne sont pas trop importantes, elles peuvent être corrigées à l’aide d’un logiciel de retouche comme Photoshop ou Lightroom.
Plage dynamique : il s’agit de l’écart entre les hautes lumières et les basses lumières que le capteur peut enregistrer. Plus la plage dynamique est large, plus votre appareil est capable d’enregistrer des détails dans les zones claires et sombres d’une même scène. La dynamique est par ainsi importante pour capturer des images très contrastées.
Macro : la macro est la capacité d’un objectif à photographier en très gros plan des insectes, des fleurs ou de minuscules détails. Un objectif macro dédié est indispensable en raison de la faible distance de mise au point. Pour qu’un objectif soit véritablement macro, il doit au minimum avoir un rapport de reproduction de 1:1 (attention de ne pas confondre avec le ratio d’aspect), ce qui signifie que le sujet aura la même taille sur le capteur qu’en taille réelle. Par exemple, un objet de 35 mm couvrira toute la surface d’un capteur plein format. Vous pouvez en savoir plus sur les objectifs macro ici.
Appareil photo plein format : il s’agit de la taille physique du capteur numérique dont est équipé l’appareil photo. Un capteur plein format présente une taille très similaire à celle des anciennes pellicules de 35 mm. À résolution égale, les pixels d’un capteur plein format sont plus gros que sur des capteurs APS-C ou plus petits. Ils sont ainsi plus sensibles à la lumière et gèrent mieux les valeurs ISO élevées. En savoir plus ici.
Appareil photo APS-C : il s’agit ici aussi de la taille physique du capteur. Celui-ci est plus petit qu’un capteur plein format et implique un facteur de recadrage de la focale d’environ 1,5x. Par exemple, un objectif de 30 mm monté sur un appareil APS-C offrira un angle de vue identique à celui offert par un 45 mm sur un capteur plein format. Vous pouvez en savoir plus ici sur les différents capteurs et leurs impacts.
Longueur focale : la longueur focale fait référence à la capacité d’agrandissement d’un objectif. Une grande distance focale équivaut à un grossissement plus important et à un angle de vue plus étroit. Un objectif grand angle possède ainsi une très courte longueur focale, tandis qu’un téléobjectif possède une focale beaucoup plus importante.
Autofocus : l’autofocus est une fonction permettant à l’appareil d’effectuer automatiquement la mise au point, c’est-à-dire à faire en sorte que le sujet soit net. Il existe différents modes autofocus que vous pouvez découvrir ici.
DPI : abréviation de points par pouce, le DPI permet de mesurer la densité de pixels d’une image présente par pouce. Plus ce nombre est grand, plus l’image est dense et peut donc être observée de près sans que des pixels ne soient visibles. En impression, la norme optimale est de 300 DPI. Vous pouvez en savoir plus sur l’article “Préparez vos photos pour l’impression”.
Objectif stabilisé : un objectif stabilisé est généralement identifiable par les abréviations IS, VR ou encore OSS. Cette stabilisation d’image est généralement commutable à l’aide d’un bouton placé sur l’objectif et permet de réduire le flou de bougé lorsque vous photographiez à main levée.
Bruit : le bruit fait référence aux petits grains présents sur une image. Celui-ci est généralement créé par l’utilisation d’une sensibilité ISO élevée. Il peut être volontairement recherché pour instaurer une “ambiance argentique”, mais il est en général préférable de l’éviter en privilégiant la sensibilité ISO la plus faible possible. En savoir plus sur la sensibilité ISO.
Objectif zoom : un zoom fait référence à un objectif ayant une longueur focale variable. Par exemple, un 18-55 mm ou un 70-200 mm. Vous pouvez ainsi couvrir une large plage focale avec un seul objectif. Découvrez les avantages et les inconvénients des zooms.
Focale fixe : contrairement aux zooms, les focales fixes possèdent une unique longueur focale et ne peuvent donc pas zoomer. Les focales fixes de références sont les 35 et 50 mm. Bien que moins polyvalentes, elles présentent de nombreux avantages par rapport aux zooms. Découvrez comment choisir une focale fixe ici.
Objectif grand angle : cette catégorie regroupe les objectifs dont la longueur focale est comprise entre 10 et 30 mm (en équivalent plein format). Ces optiques permettent d’obtenir un large champ de vision, nettement supérieur à celui de l’oeil humain. Ils sont ainsi généralement utilisés pour de la photo de paysage, de rue, d’architecture ou encore à l’intérieur pour agrandir l’espace.
Objectif standard : un objectif standard possède en général une focale de 50 mm sur un capteur plein format ou de 35 mm sur un capteur APS-C. Celle-ci offre un angle de vue et des perspectives très similaires à l’oeil humain.
Téléobjectif : les téléobjectifs offrent une distance focale plus longue que la norme. Ce sont les optiques qui permettent de grandement zoomer sur un sujet éloigné. On les utilisera donc pour de la photo de sport, d’animaux sauvages, etc. Au-dessus de 300 mm, on peut parler de super téléobjectif
Objectif Tilt-shift : également appelé objectif à bascule et décentrement, un objectif Tilt-shift présente la particularité d’autoriser l’inclinaison des lentilles par rapport au capteur de l’appareil. Cela permet un meilleur contrôle de la perspective et de la profondeur de champ. Ils sont ainsi principalement utilisés pour la photographie d’architecture pour compenser les distorsions, et notamment pour éviter que la perspective ne paraisse trop exagérée en cas de manque de recul avec le bâtiment. Découvrez comment reproduire cet effet avec photoshop.
Appareil reflex : un reflex est un appareil photo à objectifs interchangeables équipé d’un miroir et d’un prisme pour diriger la lumière qui traverse l’objectif vers le viseur de l’appareil. Ce que vous voyez dans le viseur correspond donc à ce que l’objectif voit et non pas à ce que voit le capteur de l’appareil.
Appareil hybride : avec un appareil hybride, le viseur optique présent sur les reflex est remplacé par un viseur électronique permettant d’afficher directement ce que voit le capteur. Ainsi, si vous modifiez la vitesse d’obturation, l’ouverture, la sensibilité ISO, la balance des blancs, etc., votre appareil pourra instantanément simuler le résultat avant même de prendre la photo. Un appareil hybride est également beaucoup plus compact, car il n’est plus équipé du prisme et du miroir. Découvrez le guide des meilleurs appareils hybrides 2019.
Résolution : la résolution fait référence à la quantité de pixels dont le capteur de l’appareil photo est équipé. Elle est exprimée en mégapixel, où 1 Mpx correspond à 1 00 000 pixels. La résolution de l’appareil photo joue un rôle dans la qualité de l’image, mais la qualité de l’objectif et la taille du capteur le sont encore plus. Il faut en effet savoir qu’un appareil avec moins de pixels offre en général de meilleures performances en basse lumière. Ainsi, un appareil à ultra haute définition présente un intérêt notable que si vous avez fréquemment besoin d’effectuer d’importants recadrages dans vos images.
Piqué : le piqué est un termes de photographie représentant la qualité des détails affichés à l’image. Plus le piqué d’une photo est important, plus l’impression de netteté est grande. Un exemple courant pour illustrer ce principe est de regarder la même scène avec des verres de lunettes propres et des verres de lunettes sales. De nombreux paramètres influencent le piqué d’une photo. Vous pouvez les retrouver ici pour améliorer la netteté de vos images.
On arrive à la fin de cet article et vous connaissez désormais tous les principaux termes techniques nécessaires pour progresser en photographie. N’hésitez pas à laisser un commentaire si vous souhaitez expliquer d’autres termes ou si vous avez besoin de plus amples informations.
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Bonjour,
Excellent article que j’ai ajouté aux favoris. j’en connaissais la plupart, mais j’ai aussi appris de nouveaux termes photo. Merci beaucoup.