Divers

Les plus belles photos animalières de l’année

Le musée d’histoire naturelle de Londres a dévoilé les 25 plus belles photos animalières des People’s Choice Awards. Comme chaque année, les organisateurs du concours Wildlife Photographer of the Year invitent le public à voter pour leur image préférée. 25 photos exceptionnelles ont été présélectionnées parmi plus de 38 000 soumissions en provenance de 93 pays différents. Nous sommes impatients de savoir laquelle de ces images apparaîtra comme la favorite.

Hyena highway par Sam Rowley

Matériel : Nikon D500 + objectif Sigma 10–20 mm f/3.5, flash Nikon SB-28, Déclencheur à distance 

Les hyènes tachetées sont des animaux intelligents et opportunistes. À la périphérie des villes comme ici à Harar en Éthiopie, ces animaux profitent de ce que les humains laissent derrière eux, notamment des os et des viandes pourries. Ainsi, les hyènes évitent le développement de maladies. En échange, les habitants de Harar les tolèrent, leur laissant même des abats.

Ces hyènes appartiennent au groupe connu sous le nom de Highway Clan. Pour les photographier, Sam a installé une caméra à distance près d’une carcasse d’animal. Il a capturé le plus petit membre du clan après que les membres dominants, visibles en arrière-plan, se soient éloignés.


That’s the spot! par Richard Flack

Matériel : Canon EOS R5 + objectif Canon 600 mm f/4 IS III 

Dans le parc national Kruger en Afrique du Sud, à proximité d’un petit baraquement, Richard a découvert un troupeau de pintades à crête qui n’étaient pas aussi agitées que d’habitude. Cela a permis à Richard de les suivre pendant qu’elles se nourrissaient.

L’une des pintades se mit à gratter la tête et l’oreille d’une autre. Cette dernière resta immobile quelques instants, la bouche ouverte et les yeux écarquillés, comme pour dire « c’est là, continue ». Richard indique : « ce n’est pas souvent que l’on parvient à capturer l’émotion dans le visage des oiseaux. ». Il n’y avait aucun doute : c’était une pintade satisfaite !


Fishing for glass eels par Eladio Fernandez

Matériel : Sony 7R III + objectif Sony 24–105 mm f/4 

Eladio met en lumière le sort de l’anguille d’Amérique en voie de disparition. Capturée à l’état juvénile, sous forme de civelle, elle est exportée par millions chaque année pour répondre à l’insatiable demande du marché asiatique, notamment japonais. Sur la côte de la République dominicaine, pendant cinq mois, des centaines de pêcheurs se rassemblent autour des estuaires de l’aube au crépuscule pour attraper les petites anguilles.

Ces larves ont migré de la mer des Sargasses, où les anguilles adultes frayent. L’espèce étant fortement menacée, la pêche est désormais étroitement contrôlée en Amérique, laissant les Caraïbes prendre le relais en tant que principal exportateur, mais sans réglementation. Cette image a nécessité à Eladio de nombreuses nuits d’essais et d’erreurs. Il a été nécessaire d’utiliser une longue exposition pour saisir le moment précis où les pêcheurs ont levé leurs filets hors des vagues entrantes.


A golden huddle par Minqiang Lu

Matériel : Canon EOS-1DX Mark II + objectif Canon EF 70–200 mm f2.8 

Deux femelles et un singe doré au nez retroussé se serrent l’un contre l’autre pour se réchauffer dans le froid extrême de l’hiver. Menacée par la perte et la fragmentation des forêts, cette espèce en voie de disparition est confinée au centre de la Chine. Limités à vivre en altitude dans les forêts tempérées, ces singes – ici dans les monts Qinling dans la province du Shaanxi – se nourrissent principalement dans les arbres. Ils y mangent les feuilles, les écorces, les bourgeons et les lichens.

Minqiang connaissait la région où une troupe de singes se reposait souvent. Sous un temps rythmé par le vent et la neige, il gravit la montagne pendant près d’une heure avec son équipement photographique. Photographiant depuis une pente opposée à l’arbre dans lequel le groupe était blotti, il est resté immobile pendant une demi-heure à des températures de -10°C avant de pouvoir réaliser cette composition à hauteur des yeux.


Caribbean crèche par Claudio Contreras Koob

Matériel : Canon EOS 5D Mark II + objectif Canon 300 mm f2.8 + téléconvertisseur 2x 

Claudio a réalisé cette image dans la réserve naturelle de Ría Lagartos, sur la péninsule du Yucatán, au Mexique. Les flamants des Caraïbes et des Amériques viennent pour s’y reproduire. En juin, les poussins avaient déjà quitté leurs nids et étaient dans des crèches gardées par des oiseaux adultes. Lorsque les poussins ont commencé à s’approcher de Claudio, les adultes les ont entourés et les ont doucement ramenés dans la colonie.

Bien que les populations de flamants roses soient stables, ces oiseaux sont très sensibles aux changements environnementaux, tels que l’inondation de leurs sites de nidification. Il est difficile de savoir comment cette espèce va réagir face aux effets du changement climatique. 


Wasp attack par Roberto García-Roa

Matériel : Canon 5D Mark IV + objectif macro Canon MP-E 65 mm, double flash avec diffuseur

Le combat frénétique entre la guêpe pompilide et l’araignée ornée Ctenus s’est soudainement arrêté. Un calme intense a envahi la scène, a déclaré Roberto, qui avait regardé la bataille se dérouler dans la jungle péruvienne de Tambopata.

L’image montre la guêpe s’assurant que sa piqûre a bien paralysé l’araignée, avant de la ramener à son nid. Les guêpes de la famille des Pompilidae sont appelées guêpes araignées, car les femelles sont spécialisées dans la chasse aux araignées, qui servent de nourriture vivante à leur progéniture.


Among the flowers par Martin Gregus

Matériel : Nikon D850 + objectif Nikon 14–24 mm f/2,8

Martin a observé cet ourson polaire jouer dans un massif d’épilobe sur la côte de la baie d’Hudson, au Canada. De temps en temps, le petit prenait une pause, se tenait sur ses pattes arrière et pointait la tête au-dessus des hautes fleurs pour chercher sa mère.

Voulant capturer le monde sous l’angle du petit, Martin a placé son appareil photo dans un boîtier sous-marin afin de le protéger contre les ours. Il a ensuite attendu patiemment à une distance de sécurité avec un déclencheur à distance. Ne pouvant pas voir exactement ce qu’il se passait, Martin devait juger du bon moment où l’ours apparaîtrait dans le cadre de la caméra.


The elusive golden cat par Sebastian Kennerknecht

Matériel : Canon EOS 30D + objectif Canon 10–22 mm f3.5–4.5; deux flashs Nikon SB-26; déclencheur Trailmaster; boîtiers étanches conçus sur mesure

Avant que cette image ne soit capturée, Sebastian et son ami biologiste, David Mills, ont été presque piétinés par un éléphant dans la forêt tropicale dense du parc national de Kibale en Ouganda.

De retour dans la même zone, ils ont installé un piège photographique dans le but de photographier le rare et insaisissable chat doré africain. Mesurant environ deux fois la taille d’un chat domestique, c’est l’un des félins les moins étudiés au monde. À ce jour, il existe encore moins de cinq photographies haute résolution de ce chat à l’état sauvage.


The frog with the ruby eyes par Jaime Culebras

Matériel : Sony A7 III + objectif macro Canon MP-E 65 mm f2.8 1–5x, 2 flashs Yongnuo 560IV, 2 boîtes à lumière, trépied Manfrotto 055MF3

Les croisements des grenouilles de verre pouvaient être entendus tout autour de cette femelle, qui était tranquillement assise sur une feuille. Ces grenouilles ne sont pas effrayées par les humains. Si vous ne les dérangez pas, vous pouvez installer votre équipement à proximité. Jaime Culebras pensait que cette grenouille avait les plus beaux yeux, alors il a soigneusement déplacé son appareil photo, son trépied et ses flashs pour qu’ils soient suffisamment proches pour capturer un portrait qui les mettrait en valeur.

Uniquement présentes dans le nord-ouest de l’Équateur, dans la réserve de Río Manduriacu, au pied des Andes, ces grenouilles sont menacées par la perte d’habitat associée à l’exploitation minière et forestière.


Caught by the cat par Michał Michlewicz

Matériel : Canon EOS 6D + objectif Canon 24 mm f2.8, 2 flashs Nikon SB-28 ; émetteurs Yongnuo RF603II, capteur PIR V2

Michał avait remarqué que de nombreux animaux visitent cette grange abandonnée d’un petit village de l’ouest de la Pologne. Avec l’utilisation de sa caméra de chasse, Michał a capturé un blaireau, un renard et une martre, mais aussi beaucoup de chats.

Installant un piège photographique juste à l’intérieur de la grange, face à l’entrée, il attendit de voir ce qui le déclencherait. Heureusement, mais pas pour ce pinson, un chat domestique est arrivé avec sa nouvelle proie. Michał tient à ce que son image soit utilisée pour illustrer l’impact que les chats domestiques peuvent avoir sur un écosystème local.


Head to head par Miquel Angel Artús Illana

Matériel : Nikon D850 + objectif Nikon 500 mm f5.6 

Le spectacle de deux femelles bœufs musqués s’attaquant l’une à l’autre a surpris Miquel. Pendant quatre jours, il avait suivi une famille de bœufs musqués dans le parc national norvégien de Dovrefjell-Sunndalsfjella. Sur un haut plateau, une autre famille de bœufs musqués de taille similaire est apparue.

S’attendant à un tête-à-tête entre les mâles (c’était en septembre et les femelles étaient en chaleur), il a été déçu lorsque les deux mâles se sont immédiatement entendus et que le plus faible a reculé. C’est alors que les deux femelles ont commencé leur combat court mais intense, dont il a capturé l’action.


Covid litter par Auke-Florian Hiemstra

Matériel : Pentax K1 + objectif Pentax 28–70 mm f2.8, lampes d’atelier Kaiser

Une jeune perche a été retrouvée coincée dans le pouce de ce gant chirurgical jeté dans un canal aux Pays-Bas. Depuis la pandémie de Covid-19, les gants et les masques ont jonché la terre et la mer.

Cette perche a été trouvée lors d’un nettoyage hebdomadaire d’un canal à Leiden. Les épines sur son dos empêchaient le poisson de s’échapper en reculant. Le pouce déchiré était probablement le signe de son combat final. Le gant a constitué la base d’une étude scientifique qui a documenté la gamme d’animaux touchés par les déchets de Covid-19 pendant la pandémie. Pour celui-ci, c’est le matériau qui a aidé à nous protéger qui s’est avéré être un danger pour la faune.


Life and art par Eduardo Blanco Mendizabal

Matériel : Canon EOS R5 + objectif Canon 100-400 mm 

En marchant dans une rue de sa ville natale de Corella, dans le nord de l’Espagne, Eduardo est tombé sur ce graffiti de chat. Sachant que les geckos communs émergent les chaudes nuits d’été pour chasser les moustiques et autres insectes, Eduardo est revenu avec son appareil photo et a attendu patiemment la photo parfaite. Le chasseur devient alors la proie du chat en trompe-l’œil.


Red and yellow par Chloé Bès

Matériel : Canon 5D Mark IV + objectif Canon 300 mm f2.8 

Près du port de Rausu, sur l’île japonaise d’Hokkaido, plusieurs centaines de goélands à ailes grises attendaient le retour des pêcheurs. Certains des oiseaux ont commencé à s’installer, gardant les yeux sur l’horizon. Focalisant son attention sur un oiseau, Chloé a composé un portrait minimaliste, mettant en valeur l’œil et le bec. La tache rouge présente sur le bec se développe lorsque les goélands sont adultes. Cela reflète en partie leur état de santé, mais c’est aussi une aide essentielle pour les jeunes. En effet, lorsque les poussins picorent cette zone, cela enclenche un processus de régurgitation chez les parents.


Holding on par Igor Altuna

Matériel : Canon EOS-1D X Mark III + objectif Canon 600 mm f/4

Ce léopard avait tué un babouin dans le parc national de South Luangwa en Zambie. Le bébé du babouin était encore vivant et accroché à sa mère. Igor regarda la prédatrice marcher calmement vers son propre petit. Celui-ci a joué avec le bébé babouin pendant plus d’une heure avant de le tuer, presque comme s’il avait reçu une proie vivante pour s’initier à la chasse.


Heads or tails? par Jodi Frediani

Matériel : Canon EOS 7D Mark II + objectif Canon EF 24–105 mm f4 II 

La mer était plate et exceptionnellement claire dans la baie de Monterey, en Californie. Elle a fourni une sublime toile de fond turquoise pour les corps brillants de trois dauphins baleines. Cependant, ce n’est qu’avec l’aide d’une autre touriste bien intentionnée que Jodi a réussi à capturer cette photo de deux adultes avec la queue argentée d’un juvénile.

Voyant l’intérêt et l’appareil photo de Jodi, une jeune femme a cédé sa place à l’avant du bateau en dessous duquel les dauphins s’amusaient à surfer sur la vague d’étrave. Ces dauphins sont d’apparence atypique, avec des becs courts et pointus, des fronts inclinés et pas de nageoires dorsales. Ils sont rapides et extrêmement athlétiques, volant souvent haut hors de l’eau en sauts gracieux.


Portrait of Olobor par Marina Cano

Matériel : Canon EOS-1D X Mark III + objectif Canon 600 mm f/4 

C’était en fin d’après-midi lorsque Marina trouva le lion Olobor en train de se reposer. Il fait partie des trois célèbres lions de Black Rock dans la réserve nationale de Maasai Mara au Kenya.

Tout autour du lion, le sol était noir, ayant été brûlé par les bergers Masais locaux pour forcer une nouvelle poussée d’herbe. Marina a voulu saisir le regard majestueux et provocateur du lion sur le fond sombre. Elle a abaissé son appareil photo hors de son véhicule pour obtenir un portrait à hauteur des yeux.


Coastline wolf par Bertie Gregory

Matériel : Nikon D300 + objectif Canon 10–20 mm f4.5–5.6, déclencheur sans fil Pocket Wizard, boîtier de protection sur mesure

Alors qu’il était dans un canoë à la recherche d’ours noirs, Bertie a repéré cette louve trottant le long du rivage sur la côte ouest de l’île de Vancouver. Le photographe changea alors de position pour anticiper les déplacements du loup. Il a ensuite installé sa caméra à distance, avant de remonter dans le canot pour s’éloigner. Le loup est alors passé juste devant la caméra, permettant à Bertie de prendre cette photo avec le déclencheur à distance. Malheureusement, ce loup a ensuite été tué par un homme qui prétendait protéger les animaux de compagnie.


Night encounter par Sami Vartiainen

Matériel : Canon EOS-1D X + objectif Canon 70–200 f2.8 IS II 

Il était tard dans la soirée d’août et l’ambiance semblait magique dans cette forêt finlandaise lorsque Sami a repéré ce blaireau près de son terrier. Il l’a observé pendant 45 minutes. Le blaireau ne semblait pas perturbé, même si Sami n’était qu’à environ 7 mètres de lui. Il a reniflé l’air, s’est allongé sur le sol et a marché sur une courte distance. À plusieurs reprises, il est retourné dans son terrier en regardant toujours en arrière dans la direction de Sami. Seulement lorsque la nuit est tombée, le blaireau est parti dans l’obscurité à la recherche de nourriture.


Snowshoe hare stare par Deena Sveinsson

Matériel : Nikon D500 + objectif Canon 200–400 mm f4, trépied Gitzo

Deena faisait de la raquette dans les forêts du parc national des Rocheuses. Il espérait photographier la faune hivernale. C’est sur le chemin du retour que quelque chose attira son attention : un lièvre d’Amérique posé sur un petit monticule de neige. Se mettant furtivement en position, Deena attendit le moment parfait. Finalement, le lièvre a senti quelque chose, a tourné ses oreilles vers l’avant et a regardé droit vers la caméra.


Fox affection par Brittany Crossman

Matériel : Canon 5D Mark IV + objectif Canon 500 mm f/4

Par une journée fraîche sur l’Île-du-Prince-Édouard, au Canada, un couple de renards roux se saluent avec leur museau. La saison des amours du renard roux est en hiver et il n’est pas rare de les voir ensemble avant la mise-bas. Ce moment spécial est l’une des images préférées de Brittany et l’un des moments les plus tendres qu’elle ait vus entre renards adultes.


A tight grip par Nicholas More

Matériel : Nikon D500 + objectif Nikkor 60 mm f2.8 Micro, boîtier Nauticam + convertisseur macro CMC-1, 2x flashs

Cet hippocampe mâle de Bargibant, agrippant fermement avec sa queue une gorgone rose, semble presque prêt à éclater. Il restera encore en gestation pendant une période d’environ deux semaines avant de donner naissance.

Pour réaliser cette image, Nicholas s’est aidé d’un guide qui savait exactement où trouver les hippocampes de Bargibant. Ces derniers sont à peine visibles en raison de leur petite taille (1 à 2 centimètres de haut) et de leur tendance à rester immobiles. Leur capacité à imiter les couleurs et la texture de leur hôte n’est révélée en détail qu’à fort grossissement.


World of the snow leopard par Sascha Fonseca

Matériel : Canon EOS 5DS + objectif Canon 24 mm f2.8, flash Nikon SB28, Déclencheurs sans fil Camtraptions

Dans les spectaculaires montagnes du Ladakh dans le nord de l’Inde, un léopard des neiges a été capturé dans une pose parfaite grâce au piège photographique de Sascha. La neige épaisse recouvre le sol, mais le pelage dense et les coussinets velus du léopard lui permettent de rester au chaud. 

Sascha a capturé cette image en disposant des pièges photographiques sans utiliser d’appât dans les hauteurs de l’Himalaya indien. Le projet a duré trois ans. Il a toujours été fasciné par les léopards des neiges, non seulement pour leur incroyable furtivité, mais aussi en raison de leur environnement éloigné. Cela en fait l’un des félins les plus difficiles à photographier à l’état sauvage.


A fox’s tale par Simon Withyman

Matériel : Canon EOS 5D Mark IV + objectif Canon 16–35 mm, 2 flashs Profoto A1, télécommande sans fil Hama

Simon souhaite partager cette image pour sensibiliser l’impact que les humains peuvent avoir par inadvertance sur la faune. Dans la ville britannique de Bristol, un jeune renard roux s’est grièvement blessé en essayant de se libérer d’un filet de protection en plastique couramment utilisé comme clôture sur les chantiers de construction.

Les restes étaient encore incrustés dans son corps lorsque cette image a été prise, entravant la capacité du renard à chasser. Les résidents locaux ont laissé de la nourriture pour la renarde – ici, une cuisse de poulet. Au bout de cinq mois, elle a été attrapée, soignée et relâchée. Mais tragiquement, six mois plus tard, elle a été heurtée par une voiture et est décédée.


Le public a jusqu’au jeudi 2 février 2023 pour voter sur le site du musée d’histoire naturelle de Londres afin d’élire les plus belles images. Les cinq premières photos seront affichées en ligne aux côtés des gagnants du 58e concours Wildlife Photographer of the Year. 

Si vous avez aimé cet article, n’hésitez pas à vous abonner à la newsletter pour être informé lors de la publication des prochains sujets et pour recevoir gratuitement votre livre photo.

Partager cet article

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *